L’ADSE lance un appel à la MOBILISATION MASSIVE de la population face à ce projet inapproprié et irrespectueux de l’environnement et soutient les communes et les habitants concernés. Le Grand Paris est capable de gérer ses propres déchets.
L’ADSE refuse que ces communes deviennent de nouvelles décharges.
Chaque bonne réalisation grande ou petite connaît ses périodes de corvées et de triomphes ; un début, un combat et une victoire. (Gandhi)
Rejet de la demande de la société BOUYGUES ISDI Saint-Hilaire
L’ADSE TOUJOURS EFFICACE
L’ADSE toujours présente et efficace
Des habitants inquiets d’une installation ou d’un projet nous sollicitent souvent, nous les conseillons et les informons.
Voici, en résumé, quelques nouvelles de nos activités et des différentes luttes que nous menons actuellement.
Le projet de CSDI (Centre de Stockage de Déchets Inertes) à Saint-Hilaire
La mobilisation du 2 mai 2021 avait déjà porté ses fruits en obligeant le pétitionnaire à fournir une étude environnementale complète (arrêté préfectoral du 30 juillet 2021).
Depuis, les maires de Boutervilliers, Châlo-Saint-Mars, Chalou-Moulineux et Saint-Hilaire ont demandé le classement des vallées au titre des paysages et, vu les risques de dénaturer ces vallées, le passage par la procédure d’instance de classement. Cette demande a reçu l’accord du Ministre de la transition écologique.
Nous venons de recevoir la bonne nouvelle qui en découle : avis défavorable du ministère sur le projet de CSDI à Saint-Hilaire.
L’arrêté préfectoral de refus d’autorisation devrait suivre.
Bien sûr, il ne faut pas encore crier victoire, car l’entreprise Bouygues pourrait demander l’annulation de cet arrêté.
Mais l’union de tous : habitants, associations, communes, élus a une fois de plus montré que l’on peut réussir à empêcher des projets insensés, même s’ils sont portés par des entreprises puissantes.
Avis de la MRAe sur le projet de stockage de déchets à Saint Hilaire
la liste des recommandations MRAe
Nous ne sommes pas la décharge du Grand Paris
Mesdames, Messieurs les candidats à l’élection présidentielle,
L’élection présidentielle, rendez-vous démocratique majeur dans la vie politique nationale, permet la confrontation de différentes visions de la France et est l’occasion d’apporter des réponses concrètes aux attentes et aspirations de la population sur un certain nombre de sujets essentiels à ses yeux.
Jamais les questions environnementales n’ont apparu aussi saillantes dans le débat public et nombreux aujourd’hui sont nos concitoyens à être préoccupés, par la dégradation de leur cadre de vie et sont animés par la volonté de conserver la biodiversité de leur environnement.
Le collectif « Nous ne sommes pas la décharge du Grand Paris », constitué d’acteurs associatifs, de citoyens engagés et d’élus locaux, saisit donc l’opportunité de ces élections présidentielles pour attirer votre attention sur un sujet sensible,trop peu médiatisé et qui pourtant impacte la vie quotidienne de cette « France périphérique » des petites villes et villages :
la multiplication des décharges de chantiers issus du BTP sur des terres naturelles ou d’anciens terrains à vocation agricole.
Le phénomène de métropolisation, qui s’est accéléré autour des grandes villes ces dernières années, s’accompagne mécaniquement d’une forte augmentation des chantiers de grande ampleur et de la production de déchets dont les quantités dépassent les capacités de stockage des décharges habilitées. En Île-de-France, le projet du Grand Paris a saturé le marché des déchets issus du BTP, avec des conséquences négatives sur les territoires de la grande couronne parisienne. L’entreprise Bouygues, qui est directement engagée dans des opérations d’aménagement du Grand Paris, envisage de déverser sur une surface agricole de 34 hectares, située sur la commune de Saint-Hilaire en Essonne,
l’équivalent d’1,5 MMm3 de déblais issus de ses chantiers. Dans le même département à Fleury-Mérogis, près de 300 000 tonnes de déchets de chantiers pollués à l’amiante et au mercure ont été enfouis illégalement il y a quatre ans sur un terrain communal de 7 hectares, faisant de ce site l’une des plus grandes décharges sauvages d’Île-de-France.
La frontière, entre ce qui relève de la légalité ou non, apparaÎt d’ailleurs souvent mince. Des réseaux mafieux sont à l’origine de ces saccages environnementaux, comme à Fleury-Mérogis où plus récemment, à Vaujours, en Seine-Saint-Denis. Dans les deux cas, que ce soit une entreprise à la réputation « respectable » ou des réseaux criminels, on observe hélas le même procédé : jouer de la règle en exploitant les faiblesses des petites communes démunies face à ces pratiques scandaleuses, avec à la clé des profits conséquents.
À l’heure de la transition écologique, n’est-il pas grand temps que l’État se saisisse de ce problème resté trop longtemps sous silence, qui participe de fait à l’aggravation des inégalités environnementales et sociales entre nos territoires ? L’absence de réaction étatique sur ce sujet suscite un sentiment profond d’injustice parmi les habitants concernés, qui appartiennent essentiellement aux classes populaires et moyennes vivant à la périphérie des grandes métropoles.
Vous êtes candidats aux plus hautes fonctions de l’État. Aussi notre collectif souhaiterait connaître les mesures de protection de nos territoires que vous mettriez en œuvre contre l’apparition de ces décharges, et les garanties pour tous nos concitoyens de vivre dans « un environnement équilibré et respectueux de la santé », comme en dispose l’article 1er de la charte de l’Environnement.
Quels moyens mobiliseriez-vous pour aider les communes lésées à réhabiliter leurs terrains et espaces naturels pollués par ces exhaussements dits aussi remodelages ?
En vous remerciant pour les réponses que vous donnerez, nous vous prions, Mesdames, Messieurs, de recevoir l’expression de notre plus haute considération.
Liste des signataires pour le collectif
« Nous ne sommes pas la décharge du Grand Paris »
Olivier CORZANI, Maire de Fleury-Mérogis
Kim DELMOTTE, Maire de Cheptainville
Rémi LAVENANT, Conseiller municipal de Lardy, président de « Jeunesse Solidaire »
et de « la Vignette du respect »
Tiphaine VALDEYRON, Conseillère départementale de l’Essonne
Marie-Josèphe MAZURE, Présidente de l’Association de défense de la santé
et de l’environnement (ADSE)
Catherine LEFEBVRE, Confédération paysanne Île-de-France
Annie MARÇAIS, Présidente de l’association « Village Fleury »
VISITEZ LA VALLEE mise en DANGER par les déblais du Grand Paris
et maintenant que vous avez pris conscience de la beauté du lieu, visualisez le projet d’ISDI en cliquant sur video de l’impact
remerciements à Catherine BERTHILLIER, Denis BENOIT, Teddy VAURY (Le Républicain) pour le reportage, les vidéographies et photographies.
L’ouest et le sud de l’Ile-de-France choisis en priorité pour le stockage des déchets
la Région Île-de-France a recommandé que ce soit désormais l’ouest et le sud de l’Ile-de-France qui soient choisis en priorité pour le stockage des déchets du BTP.
Communiqué de presse ADSE août 2021
Projet de stockage de déchets inertes
à SAINT-HILAIRE
Notre opposition unanime a permis de franchir une première étape, continuons le combat jusqu’à la victoire
Le projet sera instruit selon les règles de la procédure d’autorisation environnementale et non de simple enregistrement. Dans son arrêté n°2021-PREF/DCPPAT/BUPPE/197 du 30 juillet 2021, le Préfet de l’Essonne retient tous les arguments développés par :
- le SIARJA (Syndicat mixte pour l’aménagement et l’entretien de la rivière Juine et de ses affluents) ;
- le Conseil Départemental de l’Essonne ;
- la CAESE (Communauté d’Agglomération de l’Etampois Sud Essonne) ;
- la CCEJR (Communauté de Communes Entre Juine et Renarde) ;
- de nombreuses communes ;
- de personnalités politiques de tous bords ;
- des organismes agricoles ;
- diverses associations ;
- la pétition qui a emporté plus de 26400 signatures (numérique-papier) ;
- les participants à la manifestation du 2 mai à Etampes ;
- l’ADSE.
L’ensemble de ces acteurs œuvrent conjointement avec les quatre communes qui seraient les plus impactées (Saint-Hilaire, Châlo-Saint-Mars, Boutervilliers, Etampes) pour dénoncer cette aberration environnementale.
Cela signifie que des pièces complémentaires sont demandées au pétitionnaire, que le projet est soumis à une évaluation environnementale et, lorsqu’il sera déclaré complet, à une enquête publique.
Continuons d’être vigilants et préparons-nous à ce moment décisif où nous devrons participer nombreux et présenter des arguments probants pour démontrer toutes les nuisances et tous les risques présentés par ce stockage dans un lieu inadapté.
Nous venons d’apprendre qu’une consultation sur le SDAGE (Schéma Départemental d’Aménagement et de Gestion des Eaux) de Seine/Normandie, est en cours, mais elle prend fin le 1er septembre.
L’ADSE va déposer un document pour renforcer son opposition au projet d’ISDI à Saint-Hilaire. Pour ceux qui souhaitent participer, voici le lien :
https://s1.sphinxonline.net/surveyserver/s/AESN/ConsultationSDAGEPGRI/accueil.htm
Ce n’est pas gagné, mais c’est une première étape qui peut nous mener à la victoire !
Notre union est notre force !
Se tenir prêt pour l’avenir en étant solidaires
Malgré le refus consensuel de tous, élus, citoyens, associations, agriculteurs, collectivités, organismes professionnels… qui s’amplifie, le dossier du projet risque de suivre toutes les procédures d’après les annonces faites par les services de l’Etat. Un redoublement d’efforts est nécessaire pour les étapes suivantes, en particulier la consultation publique dont nous ne connaissons pas la date : s’y préparer avec des arguments probants et y participer en grand nombre peut influencer la décision finale.
Depuis cette manifestation du 2 mai 2021 les soutiens ne cessent de s’accumuler…
Merci à tous.
Félicitation à toutes et à tous, cette journée de manifestation du 2 mai fut un succès grâce à votre participation et nous vous en remercions. Une pensée particulière aux bénévoles qui dans l’ombre ont participé à la réussite de cette rencontre.
Nous étions nombreux pour les uns et pas assez pour les autres. Nous ne débattrons pas des différents chiffres annoncés par chacun. Nous soulignerons seulement que malgré la crise sanitaire, la pluie et le manque de temps pour prévenir tous nos contacts, des citoyens de tous âges ont tenu à être présents, des élus, des associations, des professionnels cressiculteurs, agriculteurs, des syndicats agricoles intercommunaux et professionnels, des collectifs divers… se sont déplacés pour représenter leurs habitants et/ou leurs adhérents. Nous ferons encore mieux lors de la prochaine manifestation. Des prises de paroles se sont succédées dont celle de la Présidente de l’ADSE, entrecoupées d’animations. Des tracts ont été distribués aux automobilistes.
Le stand « Accueil » a recueilli de nombreux soutiens, signatures motions – pétitions et pris des contacts pour la suite de la lutte.
Pour les personnes qui veulent agir voici quelques indications :
- Continuer et élargir l’information sur le projet ISDI Saint-Hilaire ;
- Encourager à la signature de la pétition ;
- Enrichir notre panel de soutiens ;
- Rechercher et préparer des arguments pour aider chacun à participer à la consultation publique lors de son ouverture ;
- Apporter documents, informations pour les dossiers de contre-expertises des experts et avocats.
Citoyens, préparez vos plumes…
Chaque bonne réalisation grande ou petite connaît ses périodes de corvées
et de triomphes ; un début, un combat et une victoire. (Gandhi)
LA MOBILISATION S’ORGANISE
nous sommes déterminés – nous ne lâcherons rien
Saluons la détermination des élus des communes impactées par le projet d’ISDI qui par ce courrier réitèrent fermement leur opposition.
Par la présente, les communes de Saint-Hilaire, Boutervilliers, Châlo-Saint-Mars et Etampes tiennent à vous exprimer qu’elles sont aujourd’hui unies dans une ferme opposition au projet d’ISDI du groupe Bouygues au site d’Ardenne à Saint-Hilaire et qu’elles s’engagent dans une action concertée visant à empêcher la réalisation de ce projet sur leur territoire. Nos communes bénéficient d’ores et déjà du soutien de nombreuses communes franciliennes et des départements limitrophes…/…LIRE
Alerte ISDI sur Saint-Hilaire Essonne
la Manifestation Dimanche 2 mai 2021
COMMUNIQUE de l’ADSE
NOUS DEVONS AGIR VITE
Alertée par les communes et les citoyens inquiets, l’ADSE a pris connaissance d’un projet présentant de multiples risques de pollution de l’air, des sols, des sous-sols, de l’eau potable, des rivières et de la nappe phréatique de Beauce, sur la commune de Saint-Hilaire, aux lieux-dits Ardenne – La Saboterie, dès 2021. Ce projet du groupe BOUYGUES TRAVAUX PUBLICS est présenté comme « un remodelage de terres agricoles » et prévoit le déversement de déchets en provenance des travaux du Grand Paris. Pendant 8 années minimum, 1 400 000 m3 de terres dites « naturelles » seront déposées sur une superficie de 34 hectares. Un déboisement et une excavation de la zone exploitée sont prévus.
L’opposition des communes est unanime et nous soutenons leurs actions.
Mardi 2 février 2021, grâce à la demande des acteurs locaux, nous avons pu assister à une réunion de présentation du projet en présence des élus de Saint-Hilaire, Châlo-Saint-Mars et Boutervilliers, des services de l’Etat (DRIEE et Sous-préfecture), du SIARJA, de la Communauté d’Agglomération de l’Etampois Sud-Essonne compétente en matière d’environnement…
Bouygues présente ce projet comme un remodelage et un réaménagement : c’est une Installation de Stockage de Déchets « dits » Inertes (ISDI) classée ICPE (Installation Classée pour la Protection de l’Environnement) qui est ici programmée. Bouygues a déposé, le jour même, le dossier auprès des services de l’Etat avant la réunion dite de concertation avec toutes les parties.
Bouygues affirme que son projet est écologique et « s’inscrit dans une nouvelle démarche vertueuse d’économie circulaire ». La Confédération paysanne, présente à la réunion, a expliqué que sur des parcelles agricoles de 5 hectares à Avrainville, un rehaussement devait être effectué par l’entreprise Immo VRD avec des gravats et terres provenant des chantiers du Grand Paris. En réalité, les terres agricoles ont servi de décharges.
Pourquoi l’entreprise Bouygues a-t-elle choisi ce site pourtant très protégé sur le plan patrimonial naturel, hydrologique, géologique, agricole (les cressonnières et les autres cultures)… ?
Réponse : opportunité foncière grâce à un nouveau propriétaire qui a accepté le projet.
Soucieux de la protection de la santé et de l’environnement, nos préoccupations sont :
- Trop d’incertitudes sur la nature et le contrôle des terres apportées ;
- Altération inévitable du site inscrit des vallées de La Chalouette et de La Louette, des Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF), des Espaces Naturels Sensibles (ENS), des zones humides, réservoirs de biodiversité ; les atteintes à la faune et la flore sont minimisées ;
- Le site géologique de Saint-Hilaire en réserve naturelle nationale est passé sous silence ;
- Risques de pollution de la nappe phréatique toute proche, des sources, des rivières, des puits artésiens ainsi que des cressonnières ;
- Risques de pollution de l’eau potable qui alimente les habitants des Vallées et d’Etampes (2/3 des habitants bénéficient de l’eau de La Louette) ; quid du périmètre de protection du captage d’alimentation en eau potable pour la consommation humaine ?
- Risques de modification des trajectoires des eaux de ruissellement ;
- Risques d’écoulement des eaux sur le hameau des Boutards, lieu de captage d’eau potable ;
- Risques d’inondations avec le comblement de zones humides et d’éboulements ;
- 100 passages (minimum) de camions par jour, de 7h à 16h30, passant par la D 191, la D 821 et la D 838. Accroissement des accidents et de la pollution plus nuisances sonores ;
- Poussières provoquant gêne et allergies pour les habitants les plus proches ;
- entre autres nuisances…
L’ADSE lance un appel à la MOBILISATION MASSIVE de la population face à ce projet inapproprié et irrespectueux de l’environnement et soutient les communes et les habitants concernés. Le Grand Paris est capable de gérer ses propres déchets.
L’ADSE refuse que ces communes deviennent de nouvelles décharges.
Si vous voulez nous rejoindre et/ou possédez des compétences en matière d’écologie, de géologie, d’hydrogéologie, de géotechnique, d’agronomie….contactez-nous
Unissons nos forces pour défendre nos vallées et notre cadre de vie !
Projet néfaste de stockage de déchets à Saint-Hilaire
Monsieur le Président de la CAESE,
Vous avez certainement été averti du projet imminent de dépôt massif de terres et de cailloux provenant de chantiers de la région Ile de France dont l’opérateur est Bouygues-Travaux publics en lien avec un agriculteur local semblant conciliant, sur Saint-Hilaire (Ardenne – La Saboterie) sur le territoire de la CAESE, compétente en matière de protection de l’environnement. Il s’agirait de la création d’une ISDI (Installation de stockage de déchets inertes).
L’expérience que nous possédons de plusieurs années de lutte contre des projets destructeurs de l’environnement et de la santé nous a prouvé qu’il était très important d’anticiper pour faire face aux actions de lobbying souvent très efficaces des opérateurs auprès des services de l’Etat et des collectivités.
C’est pour cette raison que nous pensons qu’une délibération ou une motion de la CAESE actant l’opposition déterminée à ce projet adressée à Monsieur le Préfet de l’Essonne sous couvert de Monsieur le Sous-préfet d’Etampes serait souhaitable. Si le stockage et l’épandage sont réellement prévus en mai prochain, il y a à notre avis urgence à intervenir.
Nous savons qu’il est plus difficile d’empêcher un projet dès lors que l’Etat a délivré une autorisation ICPE.
Quelques informations recueillies auprès des mairies concernées :
- Durée du chantier de dépôt : 8 ans ;
- Dépôt sur 34 ha de terrain de plus 1,4 million de m3 de terres et cailloux provenant de différents chantiers de la région IDF ;
- Creusement de 30 à 40 cm ;
- Un accord de principe existerait entre l’agriculteur concerné et Bouygues ;
- Le stockage débuterait en MAI 2021.
Notre association, soucieuse de la protection de l’environnement et de la santé, est inquiète des risques prévisibles :
- Projet en site inscrit des vallées de La Chalouette et de La Louette + ZNIEFF + Espaces Naturels Sensibles ;
- Trop d’incertitudes sur la nature et le contrôle des terres amenées ;
- Risques de pollution de la nappe phréatique toute proche, des rivières ainsi que des cressonnières ;
- Risques de modification des trajectoires des eaux de ruissellement ;
- Risques d’écoulement des eaux sur le hameau des Boutards, lieu de captage d’eau potable ;
- Risques d’inondations avec le comblement de zones humides ;
- Poussières provoquant gène et allergies pour les habitants ;
- Accroissement des accidents et de la pollution sur la RD191 ou la RD 821 avec le nombre important de camions (50 à 60 camions/jour) ;
- Entre autres…
Nous vous remercions de bien vouloir prendre en considération notre requête et sommes à votre disposition pour vous rencontrer pour échanger sur ce projet.
Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments respectueux.
PROJET DE DEPOT DE TERRES sur la commune de Saint-Hilaire
Monsieur le Maire Stéphane DEMEULEMEESTER
Nous nous sommes entretenus sur le projet imminent de dépôt massif de terres provenant de chantiers de la région Ile de France sur Saint-Hilaire (Ardennes) dont l’opérateur est Bouygues en lien avec un agriculteur local semblant conciliant.
L’expérience que nous possédons de plusieurs années de lutte contre des projets destructeurs de l’environnement et de la santé nous a prouvé qu’il était très important d’anticiper pour faire face aux actions de lobbying souvent très efficaces des opérateurs auprès des services de l’Etat et des collectivités.
Les listes ci-dessous ne sont pas closes, vous avez la possibilité d’apporter de nouveaux soutiens…
N’hésitez pas à nous adresser vos documents, vos informations…, nous compléterons aussitôt.
Les différents écrits sont de la seule responsabilité de leurs auteurs
Liste des Associations
Associations
Elus et Responsables politiques
- Présidentielles
- Ministres
- Députés Européens
- Députés
- Sénateurs
- Conseillers Régionaux
- Conseillers Départementaux
- Maires
- Maires-Adjoints et Conseillers Municipaux
Agriculture
Organismes Agricoles
Collectivités
- Conseils Régionaux et Départementaux
- Communautés d’Agglomérations, de Communes
- Communes
- Syndicats Intercommunaux