Transports

Nos études relatives aux transports :


Le transport de déchets dans le projet SITA

Février 2012

Un emplacement mal choisi et mal desservi

SITA est très imprécis sur la zone de provenance des déchets

Déchets en provenance de l’Essonne

Les ordures ne pourraient provenir que du nord du département là où se situent les zones denses en emploi et en population du département Le trajet serait au minimum de 60 km

Déchets en provenance de l’Île de France

Il est évident, à la lecture d’une simple carte, que l’emplacement n’a pas été choisi pour minimiser les transports.

 Mode de transports

…..En particulier, vous étudierez le recours accru à des solutions de transports de déchets utilisant des modes moins polluants (rail, voie navigable), qui ne représentent que 3 % des flux – importants – de déchets transportés chaque année. Ces flux représentent environ 515 millions de tonnes, soit 35 % des marchandises transportées. Le Fonds de modernisation de la gestion des déchets (FMGD) et l’ADEME peuvent soutenir des initiatives de collectivités locales ou d’entreprises dans le développement de ces modes de transport moins polluant…… télécharger le document

Étude d’incidence du projet SITA sur le transport

 Décembre 2007

Choix de l’emplacement

Le projet de la SITA comporte de nombreuses incohérences quant au choix de l’emplacement. Certaines incompatibilités sont ainsi identifiées au regard des grandes orientations nationales et locales.
On relèvera ainsi sommairement, le caractère discutable avec les orientations de l’agenda 21, de la circulaire du 28 avril 1998 du ministère de l’environnement et de l’ADEME, disposant que les projets doivent être inscrits dans un projet limitant les transports polluants.
Or, l’éloignement du projet avec les gisements de production de déchets n’est pas sans avoir une incidence majeure en terme de sécurité et pollutions liées au transport routier.
On ne peut que s’étonner du reste du « retour en arrière » du projet de la SITA alors qu’à Saint-Escobille — en d’autres temps, lorsque le centre de la Gadoue stockait les ordures ménagères de la ville de Paris au siècle dernier (site est du reste, à ce jour, arrêté et surtout réhabilité progressivement par les interventions de la Florentaise) —les déchets arrivaient sur le site en train. Plus d’un siècle après SITA les apporte en camions,.
Le choix de Saint-Escobille est une incohérence géographique. Voici une carte du département avec en rouge les zones de production de déchets. On ne peut que constater que le projet n’est par implanté à proximité des zones de production…… télécharger le document

 

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